Bilan lecture Mars 2022

En Mars j’ai été une lectrice prolifique et j’en suis trop contente. J’avais des envies de SF et de contemporains et ma pal répondait bien à tout ça: Americanah, Sept nouvelles d’anticipation et de SF, Psychopathologie de la vie quotidienne et puis Les courants de l’espace que je n’ai pas pu finir et dont je parlerai surement le mois prochain.

Sans plus tarder, je vous présente tous ces bouquins en détails.

Un coup de cœur!

Nous suivons l’histoire de Ifemelu une nigériane qui a vécu 13 ans aux Etats Unis et qui projette de tout lâcher et de revenir au bercail, malgré les doutes de ses proches quant à ce projet qui ne semble pas la faire avancer dans sa carrière ou dans ses finances. Dans ses derniers jours aux Etats Unis, elle nous retrace son histoire, comment elle en est arrivée à quitter le Nigéria, ses déboires aux US, ses amours…Ce sera une narration avec deux points de vue essentiellement, celui de Ifemelu et celui de Obinze le premier amour de Ifemelu qui a connu aussi pas mal de déboires dans son aventure en Angleterre.
C’est un condensé d’histoires de personnes noires aux US et UK, de personnes noires en Afrique, des réalités qu’elles vivent quelque soit le pays où elles atterrissent et des americanah(s) oh (slang pour désigner les personnes restées trop longtemps hors du pays et américanisées).


La différence entre le SF et l’anticipation?

L’anticipation appuie son récit du futur proche ou éloigné sur de l’humain, du social, du politique, de l’économie tandis que la SF s’appuie elle beaucoup plus sur les avancées technologiques et scientifiques. Dans ce recueil de sept nouvelles d’anticipations ou de SF, nous découvrons sept grands noms des genres qui s’essayent au récit court: idéal donc si l’on veut s’essayer à la plume de Isaac Asimov, Pierre Bordage, Ray Bradbury, Frederic Brown, Richard Matheson, Jacques Sternberg et Colin Thibert. En plus, on est sur des thématiques qui mettent l’homme au cœur de la technologie; qui traitent d’éthique, de machines… 


Tout serait de la faute à notre Subconscient?

Nous sommes dans les années 1900s, la psychologie en est à ses balbutiements et Sigmund Freud essaie de convaincre de l’existence de l’inconscient et de son importance dans les actes manqués qui jalonnent notre quotidien. Oublis, lapsus, négations ou méprises, tout ces événements qu’il nous arrive de banaliser auraient leur cause dans notre subconscient. Et nous avons dans ce livre, un Freud qui démontre exemples à l’appui (beaucoup de cas même) que ces actes ne sont pas fruits du hasard, ne sont pas fruits d’une inattention. Ces actes manqués seraient plutôt produits par « l’intervention d’une idée refoulée qui vient perturber le discours ou la conduite du sujet ».


Et puis la partie où je vous raconte (et détaille) tout ça en vidéo:


N’hésitez surtout pas si vous avez des questions, des suggestions, des remarques…La section commentaire est disponible juste en dessous 🙂

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